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NOUVEAUTÉ

Pourquoi je n’ai pas atteint mes
objectifs en 2022 ?

NOUVEAUTÉ

Avant et maintenant,
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Syndrome de la page blanche :
1 an sans écrire

Sarah
Braeckeveldt
FLYHIGH

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Véritable couteau-suisse qui alterne entre de multiples activités, j’ai créer ce blog afin de partager mes découvertes, mes recherches et mes projets. J’espère également faire de belles rencontres   lire plus.

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JE CHERCHE...

24 AVRIL 2023 │ ÉCRIT PAR SARAH BRAECKEVELLDT

JOURNAL DE BORD

Le cheminement de flyhigh
entre avant et aujourd’hui

Mon plus vieux blog date de 2013. 🐰

Il y a bien longtemps que j’ai commencé à écrire des articles. Onze années de dur labeur. Aujourd’hui, flyhigh est un vrai blog, avec une identité propre, une charte graphique spécifique et inscrit dans un réseau reconnu.

Évidemment, il y a encore beaucoup de travail : Maintenant que la phase graphique et technique est passée — et elle fut de loin la plus longue. Il reste désormais à s’approprier les nouvelles tâches quotidiennes comme le soin du blog, les corrections de bugs et bien évidemment, tout ce que chaque lecteur ne voit pas : la recherche documentée, la conception du plan de chaque article, la rédaction et la correction de celui-ci, la relecture qui vient ensuite puis la mise en page, la mise en communication et informationnelle. Enfin bref, il y a encore beaucoup de choses à faire !

Note 1 # Plainte du désespoir

Note 1 # Plainte du désespoir

TECHNIQUE D’ÉCRITURE  ༄  PRÉPARER  ༄  ÉCRITURE

NOTE 1 : PLAINTE DU DÉSESPOIR

PAR SARAH  ༄  6 AVR 2022

Bonsoir, mes chers lecteurs ! (Oui, je commence à me dire que « vous », c’est mieux que « tu » mais je ne suis pas encore convaincue… vous préférez quoi, vous ?). Comme vous le savez, j’ai — enfin — repris la publication des articles (bruits de trompettes). Et très prochainement, vous allez recevoir une newsletter dans laquelle j’expliquerais plus tout en détails à propos de l’avenir du blog, je répondrais aussi à quelques questions, et je présenterais les futurs projets.

Normalement, l’article d’aujourd’hui était un tag « as-tu dans ta PAL » MAIS d’une part, il est très court et franchement pas assez pour en faire un véritable article, et d’autre part, c’est bien beau de faire des articles-tags, mais s’ils n’apportent rien, c’est inutile.

I-NU-TI-LE.

Donc, je profite de cet article pour vous parler un peu, notamment à propos de l’écriture (vu que c’est tout l’intérêt de ce blog) et de mes idées qui vont et viennent, et qui prennent énormément de place dans mon petit cerveau qui a besoin de place pour cette période de révision.

L’AVENTURE D’ÊTRE AUTRICE

Ah la la… Je sais. Oui, je sais ! Mon défaut ultime : mon irrégularité. Et pas seulement dans l’écriture, c’est aussi le cas pour Instagram, mes révisions, mes lectures et j’en passe. L’ennemi de cette irrégularité, c’est la proportion de ce que j’ai a faire. La plupart disent souvent qu’il faut privilégier telle ou telle chose, ou qu’il y a toujours assez de temps pour tout faire. Sans parler du fait que je n’ai que quelques cours, j’ai donc beaucoup plus de temps qu’un étudiant lambda. Mais on ne prend jamais en compte la « charge et le temps de travail » que cela prend, ni même le temps que l’on mettra nous-même. Pour ma part, une activité censée mettre une heure tout au plus, je vais en mettre le double. Parce que je suis lente, minutieuse, insatisfaite. Donc, malheureusement, oui : je suis très facilement submergée par les tâches. Et dans ma liste des priorités, l’écriture est très loin.

⊞ Les études d’abord,

⊞ Les corrections (quand j’en ai, bien sur, ahah),

⊞ Ensuite le blog (parce que c’est mon petit bébé quand même),

⊞ Et enfin l’écriture.

J’aimerais y consacrer plus de temps. J’adore écrire, et en ce moment, je suis dans une grosse période d’inspiration, notamment pour ma saga « Memoria ». Bien que je ne peux pas écrire, je suis quand même parvenue à mettre à jour les résumés, les personnages, etc. Mais je n’écris pas concrètement, et pas à cause de la page blanche (enfin sauf pour le livre du concours de fyctia mais je vais revenir dessus.) En bref, je manque cruellement de temps. Mais ce n’est pas le souci principal. En vérité, l’état de ma saga est bien avancé, très bien même.

⊞ Le tome 1 à 70% (en comptant la réécriture, la correction, etc)

⊞ Le tome 2 est à 40%

⊞ Le tome 3 à 20%

En fait, j’ai beaucoup écris ci et là pour jeter les idées tant qu’elles étaient fraiches dans ma mémoire. Mais en retravaillant les résumés, l’histoire globale de mes personnages et surtout les trames, je me suis rendue compte que j’ai un peu foiré mon coup. Beaucoup, en fait.

Ma saga a deux objectifs : mettre en avant la communauté LGBT et éduquer sur le féminisme en utilisant des faits divers qui se sont véritablement produits (viols, violences, féminicides, etc). L’objectif, ce n’est pas d’en faire une brochure, mais de raconter le avant, pendant et après. De raconter ce que doit vivre une femme quand elle est sous le joug du masochisme, quelle est réduite au silence ou quand elle est prétendue la menteuse alors qu’elle victime.

De là est né deux problèmes :

Le premier problème, c’est l’entrelacement des histoires. « Memoria », c’est initialement quatre tomes axés sur chacun des membres de La Ronde des Muses, autrement dit Zoey, Dani, Arley et Joyce. Premièrement, je savais déjà dès le début que Dani apparaissait la première d’un point de vue chronologique, parce qu’elle partage une relation avec Christa, qui est la première femme à appartenir à Feminist&Co. Donc, logiquement, mon tome 1 aurait dû tourner autour d’elles. Mais je ne l’ai pas fait, et je le faisais en connaissance de cause :

⊞ Christa et Dani partagent une relation très forte mais elles passent d’abord par une période d’opposition intense. Christa et très fragile alors que Dani est une femme impulsive et particulièrement nerveuse. Ce qui impliquait des côtés plus sombres de leur relation que je parvenais pas à retranscrire. Je ne me sentais pas encore « prête » à aborder leur relation.

⊞ Zoey, qui apparaît peu après Joyce, est le personnage que j’avais le plus travaillé jusqu’à maintenant. Mais elle n’apparaît pas immédiatement, courant du tome deux. Son personnage était, pour moi, le plus inspirant, notamment parce que son expérience, sa vie et son passé, ainsi que son parcours, résonnait davantage puisque je savais déjà comment l’aborder.

⊞ Je n’avais pas du tout travaillé les histoires de chaque personnages MAIS je voulais absolument que ce soit plus naturel, et moins travailler, pour le premier jet du moins. Pas de bol, c’est raté !

Le second problème, c’est le background et ma plume. Qui dit fait divers, dit événements souvent tragiques et/ou catastrophiques. Et si je veux « éduquer » et garder au maximum le réalisme de la vie de tous les jours, je dois adapter le récit de sorte à ce que ne soit pas léger ou reproché. Je ne veux pas que mon récit soit qualifié de « texte pas assez sérieux » ou qu’on en dise qu’il est « trop surfait, pas assez expliqué, trop brouillon ». C’est ce que je redoute le plus.

Et on fuit souvent ce que l’on redoute.

Dans mon cas, c’est la même chose. Je suis face à ce que j’appelle le « chaos littéraire ». Cela signifie que je me suis mal préparée et que je me suis jetée dans la gueule du loup sans savoir véritablement de quoi je parlais. Et je l’assume totalement. Je n’ai pas peur de dire que ce que j’ai écris, ça ne correspond ni à mes attentes, ni à ce que l’on attend d’un texte féministe. Il faut que ce soit vrai et fort. Percutant.

Donc, c’est vrai, je l’admet : je suis partie sans réfléchir sur un projet de grosse envergure sans m’être préparée. Et cela fait un moment que j’en ai pris conscience. Mais c’est comme tout quand on se rend compte que plus rien ne va et qu’il faut presque tout recommencer, on fait face à un passage à vide. Et quand un tel projet est la dernière priorité, on repousse le moment jusqu’à l’oublier.

Aujourd’hui, ça fait un an et quatre mois que ce projet existe. Et je ne suis pas revenu dessus depuis février de cette année. C’est énorme pour moi. Parce que je suis une habituée à écrire. J’en sacrifie une ou deux heures de sommeil, d’habitude. Mais là, c’était juste épuisant et en tant qu’autrice, il m’était insupportable de me sentir fatigué pour une activité que j’adore faire.

Mais c’est le problème quand une passion devient plus qu’une passion. Je vais être honnête : je ne supporterais pas de trouver un job et de m’en contenter. J’ai besoin d’avoir, dans mes réussites personnelles, voir ma carrière d’écrivain continuer son chemin. Je ne demande pas forcément à être connue, ni à écrire des best-sellers, mais je veux être cette femme qui a des projets et qui écrit des livres régulièrement pour ses lecteurs.

Fort heureusement, du négatif n’arrive jamais sans positif (et vous savez à quel point je suis optimiste). Récemment, j’ai enfin réussi à me replonger dans cette saga. A l’heure actuelle, j’ai un résumé gigantesque de 12 pages et demi et 5349 mots EXACTEMENT. Grosso modo, c’est 5 tomes à l’avenir sans compter les spin-offs possibles.

Donc oui : cette saga sera l’œuvre de toute une vie.

Mais ne t’inquiète pas, je vous en reparlerais dans une rubrique spéciale de mon blog.

FYCTIA ME REND CLOWN

Bon, parlons très sérieusement du sujet qui fâche : le concours « Serious Dating, Crazy Love » sur fyctia, proposé par Meetic. La première chose à mettre au clair, c’est mon immense regret d’avoir mis autant d’énergie dans ce concours qui — et je m’en doutais en plus — n’allait rien m’apporter.

Le problème avec Fyctia, c’est qu’il n’y a pas de renouvellement. Actuellement, le concours a sa même tête d’affiche depuis au moins deux mois. Le podiums des trois places, ce sont toujours les mêmes fictions. Donc, évidemment, toutes les autres histoires sont laissé derrière, alors qu’il y a sûrement des dizaines de fictions avec beaucoup plus de potentiel. Mais non. Parce que tel est le nindo de Fyctia.

Je ne suis pas la seule à reprocher ça. Le problème, c’est que la plateforme vit pour ça : c’est une plateforme qui fonctionne par concours et sur laquelle tu dois te démarquer sinon on ne te verra pas. Mais le problème reste toujours le même. Surtout que les gagnant.es sont souvent les mêmes, c’est-à-dire des auteur.es déjà connu.es. Et non, je ne dis pas ça parce que je suis dans les derniers — je l’avais déjà dit et répété sur mon instagram que ma participation ne me servait qu’à attendre des retours constructifs. Plot twist : je n’en ai jamais reçu. Je ne dénigre pas les adorables commentaires que j’ai eu, mais il faut avouer que si un auteur publie sur une plateforme, ce n’est pas uniquement pour attendre des louanges de notre plume et de notre imagination, c’est aussi pour nous aider à faire mieux et à s’améliorer.

Donc, vous l’aurez compris : Fyctia me rend folle, donc j’ai décidé d’abandonner. Même si moi j’en dis que du mal, ça ne signifie pas que le site est mauvais, sinon il n’y aurait pas autant de participants. Mais ce n’est franchement pas pour moi, donc je libère ma place, aussi petite soit-elle.

Et vous l’aurez compris, le projet « It’s okay to love a girl » pour fyctia est définitivement parti à vau l’eau, mais pas de crainte, l’histoire sera transférée directement dans la saga (vu que c’était déjà ça à la base).

INSTAGRAM ET TON ALGORITHME QUI ME JHALZFBEF

Instagram rime avec publications régulières, se montrer en cam, publier beaucoup, avoir une vraie idée, faire plus, plus, plus…

Instagram, c’est quand même super chiant. Surtout quand tu as du grec et du latin à réviser tous les jours (parce que tu le connais un jour, et la semaine d’après, tu dois le réapprendre), un blog à tenir, des corrections à terminées et des livres à écrire. C’est très difficile de gérer un compte instagram, il faut faire énormément de choses, surtout quand on mélange articles de blog, freelance et posts sur les fictions. Très honnêtement, c’est un mélange que j’arrive plus ou moins à gérer. Mais par contre, c’est très long : parce qu’il faut écrire l’article, le mettre en page, puis faire le post, qu’il faut aussi mettre en page.

Et oui, même si je le fais sur Canva, mes posts ne sont pas issus de pré-modèles. Je commence sur une base blanche et entièrement vide. C’est long, mamma mia ! Et dire que je veux très prochainement passer sur Procreate… ça le sera encore plus, ahah. (Ne jugez pas, mes posts sont ma fierté personnelle).

Donc, oui, j’ai énormément de mal à rester régulière sur Instagram, surtout que j’ai tout organisé à ce niveau : quel réel faire, quand le publier, quels posts à quels moment, mais je ne peux pas publier des choses à moitié terminées (ou je dois les tourner, les réels, mais quand tu n’as jamais fait, ce n’est pas si simple). Mais ne vous inquiétez pas : je ne cherche pas la célébrité. J’aimerais juste que mon blog soit un peu plus reconnu parce que le but, c’est aussi de partager.

Donc je serais patiente !

Voilà, je me suis beaucoup plains, mais je suis sur mon blog, donc je fais ce que je veux (non, je ne me justifie pas du tout…). J’imagine que vous avez aussi des tas de choses à me confier, non ? Ben ça tombe bien, il y a la barre des commentaires juste en dessous ↷

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SARAH

Véritable couteau-suisse qui alterne entre de multiples activités, j’ai créer ce blog afin de partager mes découvertes, mes recherches et mes projets. J’espère également faire de belles rencontres 🌻

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La lecture agrandit l’âme,
et un ami éclairé la console.”
— DE VICTOR HUGO

J’aurais dû prier pour ne jamais naître. Parfois, les choses ne se passent pas comme on le voudrait. Moi, j’ai su que j’avais tiré ma mauvaise carte quand mes parents se sont effondrés sous mes yeux en m’abandonnant. La fin du jeu est marquée au sang sur mon front, un mauvais « game over » lourd à porter. Je suis devenue un animal dépourvu de pattes et je sais que je perdrai à ce jeu qu’est la vie.